Les chaussettes de contention sont aussi prescrites par les médecins en vue du maintien de la bonne santé des patients et de tout le monde. La raison principale est de répondre à l’insuffisance veineuse afin de garder ses jambes en pleine forme tout le temps. Cet article informe sur les critères essentiels pour choisir ses chaussettes de contention.
Les premiers critères de choix
Plusieurs modèles de chaussettes de contention existent sur le marché. Homme comme dame notamment, en possèdent des modèles propres. Il y a des chaussettes de contention mi-bas. Ces genres de chaussettes sont légèrement en haut et la cheville et n’atteignent pas les mollets. C’est la taille moyenne, plus de détails ici – même. Il y a celles basses. Celles-ci se limitent au niveau de la cheville. Il y a de niveau haut aussi dont ça va jusqu’à couvrir les mollets. Il existe également celles qui sont collantes, et sont dans la plupart du temps transparent.
Les catégories de chaussettes de contention
Les chaussettes de contention existent selon des catégories données. Ces catégories sont au total quatre. La catégorie de ces chasseuses est déterminée selon la pression qu’elles exercent sur les jambes de celui qui la porte. La première catégorie est la classe 1. Cette classe exerce une faible pression qui est comprise de 10 à 15 mmHg. Cette classe est recommandée pour les amateurs de voyages et aux femmes enceintes notamment. C’est recommandé également pour les personnes qui restent debout presque tout le temps, et à ceux qui ont des difficultés de circulation de sang. Comprise entre 15 et 20 mmHg, la classe 2 est celle moyenne. C’est conseillé pour les patients en l’occurrence les patients qui ont subi d’intervention chirurgicale au niveau des veines. Quant à la classe 3, la pression est forte et va de 20 à 36 mmHg. Cette classe est destinée aux personnes qui ont des problèmes de varices, ou quelqu’un ayant eu un précédent de thrombose veineuse. La classe 4 à une pression allant jusqu’à 40 mmHg. C’est la classe qu’il faut pour prévenir le syndrome post-thrombotique.